Trois jours après, le comte, son fils, sa fille et sa nièce roulaient en berline à quatre chevaux sur la route de Paris, et le Corinthien en diligence sur celle de Lyon pour gagner l’Italie. La Savinienne rangeait le cabinet d’Yseult, et versait de grosses larmes en silence. Le Berrichon chantait dans l’atelier; et Pierre Huguenin, pâle comme un linceul, amaigri, vieilli de dix années en un jour, travaillait d’un air calme, et répondait avec douceur aux caresses et aux questions inquiètes de son père.
Fin
1840